Une maison de lotissement comme terrain d’expérience…au début était la corvée de l’entretien..
Puis la découverte d’un jardin vivant: Ne pas tondre systématiquement mais developper un parcours, laisser venir autant que possible la prairie, les fleurs, les abeilles…. puis faucher.
Gérer peu à peu les divers lieux de vie comme des espaces autonomes: cultures d’aventures pour une merveilleuse rencontre.
Recyclage d’une souche, qui accueille des miriades de petits habitants, quelques herbes folles choisies, gardent l’humidité et se mangent en salade (pissenlis)….
Récuperer les bambous ou bois rigides qui poussent de ci de là pour faire soi même ses tuteurs économiques et écologiques; Mettre l’herbe de fauche au pieds des plants conservant l’humidité necéssaire et l’ engrais de la dégradation végétale progressive.
Arroser peu, juste ce qu’il faut, avec l’eau de pluie de récupération et du purin d’ortie (fertilisant) , de prêle (repousse les pucerons..et autres parasites).
Les murs de pierre sèche, un paradis pour les insectes, les lézards, permet l’écoulement de l’eau, garde la chaleur!
Des pépins qui se révèlent tout seuls! quelle surprise!
Mon généreux automne 2010
Dans ma cours de 9 m2 qui n’a le soleil que jusqu’à midi
mes propres semis plantés dans des pots de terre!
Le vignoble urbain, paradis des abeilles
Et au printemps délice de feuilles de vigne farcies!
En pleine ville, sans terrain, notre verger vertical donne un raisin noir local (baco) …. très bon en jus!